Les auteurs font remarquer que la recherche, les mesures d’action et les politiques ne tiennent pas adéquatement compte des nombreuses différences dans les façons dont les maladies cardiovasculaires touchent les femmes et les hommes. Les différences sont dans les symptômes, les facteurs de risque, l’âge de l’apparition des symptômes, et la manière dont les femmes et les hommes cherchent à obtenir des traitements. Ils notent que les Canadiennes les plus susceptibles de souffrir d’une maladie cardiovasculaire sont les autochtones, les Asiatiques du Sud et les femmes souffrant de diabète sucré (diabète de type 2). ( de : Rapport de surveillance de la santé des femmes )