Les infirmières et infirmiers forment, au Québec et dans tout le Canada, le groupe le plus important de professionnels de la santé, et le public lui manifeste son appui de manière soutenue. Dans cette époque de réforme de la santé, celles-ci participent à la transformation du réseau de la santé et, dans des conditions précaires, relèvent le défi de l’innovation pour répondre aux besoins de santé de la population. Toutefois, il a fallu plus de cinq décennies avant qu’il ne soit question de formalisation des savoirs des sciences infirmières. Par le biais de cet ouvrage, les auteurs nous présentent l’histoire des savoirs infirmiers et de leur développement au sein de la Faculté des sciences infirmières de l’Université de Montréal et démontrent la réussite d’un groupe de femmes soignantes, religieuses et laïques, qui s’est intégré à un univers académique et scientifique occupé par des hommes.
Comprend des réf. bibliogr. --- Critique, Le Réseau Printemps/automne 2003 : Les infirmières et infirmiers forment, au Québec et dans tout le Canada, le groupe le plus important de professionnels de la santé, et le public lui manifeste son appui de manière soutenue. Dans cette époque de réforme de la santé, celles-ci participent à la transformation du réseau de la santé et, dans des conditions précaires, relèvent le défi de l’innovation pour répondre aux besoins de santé de la population. Toutefois, il a fallu plus de cinq décennies avant qu’il ne soit question de formalisation des savoirs des sciences infirmières. Par le biais de cet ouvrage, les auteurs nous présentent l’histoire des savoirs infirmiers et de leur développement au sein de la Faculté des sciences infirmières de l’Université de Montréal et démontrent la réussite d’un groupe de femmes soignantes, religieuses et laïques, qui s’est intégré à un univers académique et scientifique occupé par des hommes.